Mercredi 28 février 2018, se tenait la journée mondiale sans Facebook. Une initiative qui a vu le jour en réponse aux excès liés à l’utilisation de ce réseau social.
Comme ses responsables aiment à le rappeler, Facebook est le plus grand pays du monde, avec près de deux milliards d’abonnés.
Une influence mondiale considérable qui entraîne un certains nombre de questions. Tout d’abord, ce sont les évolutions de nos modes de vie qui sont en question.
Comment l’Homme a-t-il pu en l’espace de quelques années modifier à ce point son comportement et ses interactions sociales ? Facebook a pris un telle importance dans la vie des gens que nombreuses personnes, en particulier les plus jeunes, ne vivent plus qu’à travers ce média, en oubliant les vraies interactions humaines, irremplaçables.
L’autre question liée à Facebook est celle de la liberté individuel primaire notamment concernant la confidentialité. Avec Facebook, on se sait tous « traqués » par les algorithmes et autres moyens de nous traquer afin de remplir des bases de données marketing.
Il faudrait sans doute plusieurs journées sans Facebook par an, en attendant que les hommes parviennent à utiliser ce réseau social à propos, avec modération, sans qu’il prenne le contrôle de leurs vies.